La sclérose actuelle de la pensée musulmane remonte à l’époque abbasside qui, atteignant les sommets de l’efflorescence de la culture arabe islamique, a signé sa chute en voulant la figer.
Elle nécessite d’être revitalisée par un retour aux sources et un renouvellement de la tradition islamique.
Après L’alcool et L’apostasie et l’homosexualité, ce troisième tome de la trilogie consacrée par Farhat Othman aux tabous de l’islam démontre que ni la nudité ni le sexe ne constituent un péché en islam pur, et encore moins le voile, prétendument islamique, qui est, au mieux, une constante anthropologique méditerranéenne.
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